-
Je
suis un malentendu, principal ressort du comique dans les comédies.
-
Sans
moi, les acteurs ne sauraient pas quoi faire sur scène.
-
Je
parle, je parle, mais mon interlocuteur me sert de faire-valoir.
-
Dans
la rue, je passerais pour un doux-dingue, mais au théâtre, j’exprime les
sentiments profonds des personnages.
-
Bien
connu des élèves, je permet au spectateur de disposer de plus
d’informations qu’un personnage.
-
Au
début de la pièce, je présente les personnages et l’intrigue.
-
L’Avare
en est un, Dom Juan un autre.
-
Heureux
ou malheureux, il est trop tard.
-
J’ai
une fonction dramatique au même titre que les personnages, pourtant je ne
parle pas.
-
Comme
dans un film, il y a un temps pour tout : nous maintenons le suspens et
l’attention des spectateurs.
-
Porté
par les hommes ou les femmes, je les transforme en dieux et en déesses.
-
Je
suis construit autour du triangle femme/mari/amant ou maîtresse.
-
Extrêmement
codifiée, il faut que je me déroule en un même lieu, en 24 h et je n’ai
le droit qu’à une action.
-
Un
élément du comique mais sans parole.
-
Je
peux tenir dans la poche ; c’est aussi un métier.
-
Je
découpe le temps en 2, 3, 4 ou 5 parties.
-
Je
correspond le plus souvent aux entrées et sorties des personnages.
-
N’en
faites pas un si vous ne me trouvez pas, pourtant le cinéma m’utilise
pour faire pleurer la classe moyenne.
-
Principales
oeuvres de Molière.
-
Je
me suis fait l’écho des angoisses de mon époque.
-
Les
personnages fonctionnent toujours de cette manière (valet/maître,
servante/maîtresse, barbon/jeune fille…)
-
Il
est de répétition, de langage, de gestes, ou de situation.
-
C’est
une jeune fille pure.
-
C’est
un jeune homme bien fait de sa personne et amoureux de la jeune fille pure.